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CPF : La face cachée de l’Iceberg

Nous vous conseillons sur le travail en Israël

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Ces dernières années, nous avons assisté à une explosion du nombre de centres de formation francophones et ce, pour une raison évidente: Trente huit millions d’actifs et de chômeurs disposent d’un crédit dédié à la formation; une aubaine inespérée pour ces espaces pédagogiques, devenus au fil du temps pour certains des plateformes d’appels lucratives et peu scrupuleuses. Plongée dans l’univers du call center en Israel. Sur le plan économique la Start up nation se porte à merveille; Le marché du travail étant extrêmement dynamique notamment dans les domaines de la Tech, des Télécoms, de l’Industrie…

Le pays enregistre un taux de chômage avoisinant les 4%. Qui veut travailler en Israel n’aura aucun mal à se faire embaucher, mais rencontrera la même facilité à se faire licencier parfois même sans préavis ; Les processus d’entrée et de sortie : simple, basique… Avec un salaire mensuel de 4825₪ minimum un israélien devra effectuer 43 heures de travail hebdomadaire… la douche froide pour un français fraichement débarqué.

Et rien à voir avec le doud! Les olims se tournent donc naturellement vers des centres d’appels francophones qui fleurissent en Israel dans des domaines divers et variés,honnêtes ou pas, et qui valorisent nettement mieux les salaires, avec en prime la promesse de leads fraichement acquis pour un travail de démarchage facilité. Il est question d’Isolation à un euro, de pompe à chaleur ou de photovoltaïque financés grâce à la Prime Energie dans le cadre de la transition écologique. En théorie tout parait règlementé par l’ Etat; à l’instar du compte professionnel de formation…

En pratique les éco pirates et pseudos formateurs alléchés par cette manne financière, déploient un arsenal de techniques douteuses et agressives pour arriver à leur fin: Récupérer le butin! Aujourd’hui posons-nous les bonnes questions.

Pour quelles raisons veut on travailler? Quelles sont nos priorités? Doit-on favoriser le domaine d’activité ou l’employeur? Si le but est de s’accomplir dans son travail au quotidien, mieux vaut parier sur une entreprise où les ressources humaines sont la priorité. Partager les mêmes valeurs, être cohérent avec soi même, pouvoir mettre à profit ses compétences, se sentir utile, inspiré, motivé…voilà les clefs d’une vie professionnelle épanouissante. Se renseigner sur l’employeur, l’historique et la vie sociale de l’entreprise semblent être des critères importants pour favoriser un emploi à long terme, et ce, même si le secteur ne correspond pas forcément aux recherches initiales. La rémunération ne suffit plus pour rester dans un entreprise, le bien-être au travail est devenu une question légitime, un enjeu central. A l’heure où le gouvernement s’apprête à sanctionner lourdement ces opportunistes agglutinés dans les mêmes niches, sortir d’un système pernicieux basé uniquement sur l’appât du gain n’apparait plus comme une option, mais comme une nécessité.


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